J’ai choisi d’accompagner les HPI et multipotentiels, car je me sens en résonnance avec ce type de personnalité et j’ai identifié que je peux les aider à s’apaiser, s’aimer, progresser dans leur vie personnelle et professionnelle, « éclore », prendre leur place et apporter une plus grande contribution au monde. De l’intérêt des tests Suite à un test et un diagnostic et un effet de sidération, le HPI ou multipotentiel peut se trouver heureux d’enfin comprendre, de trouver des explications à différents challenges de sa vie, pourquoi il se sent en décalage, extra-terrestre, ses relations potentiellement difficiles avec autrui. C’est une première étape, beaucoup de questionnements également. Quel soulagement, il a enfin trouvé une identité, un groupe auquel se rattacher, il n’est plus seul et isolé, d’autres le comprennent ! Quel soulagement intense ! Certains vont réussir à s’appuyer sur ces informations pour apprendre, intégrer ce mode de fonctionnement dans leur vie, et la rendre plus belle, pour eux-mêmes et les autres. De la limite des tests J’en ai vu aussi beaucoup s’enfermer dans cette belle étiquette de « HPI », qui pourrait être vue comme flatteuse lorsque l’on raccourcit le HPI à un niveau élevé d’intelligence. Qu’on le dise ou qu’on ne le dise pas, le fait de se savoir HPI peut pousser certains à exacerber ces types de personnalité, à se définir seulement à travers ce biais, à se prouver chaque jour que l’on est bien dans cette définition : faire du HPI la définition de son être. De s’enfermer dans cette étiquette peut aussi résulter dans le sentiment « d’être mieux que les autres », que « tous les autres sont bêtes », que « j’appartiens à un groupe de 2,3% de la population seulement ». Et d’en être fier. Avec tendresse, je dirai plutôt « maladroit », pas encore mature sur le sujet. Le regroupement d’HPI entre eux peut être une bonne chose, si elle n’est pas poussée dans ses extrêmes : une caste, une élite. Un chemin Donc il y a une phase utile, de compréhension, de recherche d’environnement qui convient, de redéfinition de ses relations et types de communication, de mise en place de protection de d’un écosystème particulier. Pour moi le diagnostic est un tremplin, l’appréhension d’un mode de fonctionnement – qui peut être un peu long – qui va m’aider à me trouver, à me connaître. L’intérêt, une fois apaisé et équipé, serait presque « d’oublier » qu’on est HPI, pour se tourner sur ce qui fait du sens pour nous et ce que l’on souhaite offrir au monde, trouver notre contribution. En utilisant naturellement ses traits spécifiques, que l’on aura intégrés et sur lesquels on saura s’appuyer. Sans avoir besoin de « revendiquer » son HPIisme, car cela n’aura pas plus lieu d’aider. Du jour où je trouve ma place, ou je sais comment continuer à la trouver, plus besoin d’étiquette, elle a servi un temps, elle pourra resservir, mais elle n’est plus ma béquille, mon explication ou mon excuse perpétuelle. Il s’agit juste maintenant de vivre ma vie en tant qu’homme ou femme, tout simplement. Pour vous ? Vous avez des questions, vous recherchez un accompagnement, à passer à l’action? Je vous propose de me contacter : contact@marionfontaine.com

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